Sunday, October 13

Au Brésil, from the lands of the Amazon to sell on Facebook

D’une voix affable, “Joao” enumère les trumps des terrains qu’il met en vente, au coeur de la forêt amazonienne. « Ce sont des domaines immenses, de grandes fermes », says cell which shows up with the name in a WhatsApp voice message. Nous l’avons contacté en nous faisant passer pour des clients potentially interessés après une advert published on Facebook.

S’il reste discrete sur son identité, Joao n’est pas avare de details sur les terres qu’il vend. They are not « pas déboisees »but it is proposed « de faire l’abattage à [ses] risks ». The surface can only be 8,000 hectares (plus 11,000 football pitches) and the sale price is 1,200 reais per hectare (about 220 euros), dit-il. La vente de ces terres resold par l’Etat du Para est en prince illegal, mais cette curieuse offers est faite au vu et au su de tous, sur le plus grande réseau social du monde. Like Joao, his son from the dizaines à mettre en vente des terres amazoniennes on Facebook.

A phenomenon décelelé par Dom Phillips dès 2019. At the time, the British journalist reported an announcement for the sale of protected land posted by a certain Nair Rodrigues Petry, let’s say « Nair Brizola.” La poursuite de l’enquête by Dom Phillips sur cette propriétaire terrienne révèle l’existence of a systeme organisé d’accaparement des terres where she is visibly beneficial and which will be orchestrated by a man déjà mis en cause in a series of incendies qui decima la region in 2019.

reserve protection

En août de cette année-là, the Amazonie brûle. In one weekend, 10 and 11 August 2019, désormais connu sous le nom de fire day (the « journée du feu »), the Institut national de recherche spazioe du Brésil (INPE) reviewed 1 457 points « chauds » dans l’Etat, a price increase of 2 000 % for report à la même période l’année previous. Des procureurs fédéraux soupçonnent une crimelle action et ouvrent une enquête, toujours en cours.

The Amazon rainforest burned in the countryside of Novo Progresso, Etat du Para, in northern Brazil on August 28, 2019.

In Cachoeira da Serra, a locality in the state of Para where les incendies font rage, a terrienne owner questioned journalists in reportage: the auteurs des feux seraient les fonctionnaires de l’Institut Chico Mendes, the federal agency responsible for the conservation of biodiversity au Brésil. Brazilian media have discovered that the owner in question, Nair Brizola, recently returned several days after the “journée du feu” was worth more than one million reais (about 240,000 euros at the time). de l’Institut Chico Mendes pour avoir détruit “par le feu” It extends over 71 hectares in a biological reserve. Et qu’elle s’est declarée propriétaire d’un gigantesque terrain entièrement situé dans this reserve, pourtant interdite à la propriété privée.

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