For Christian Prudhomme, the director of the Tour de France, the cyclisme basque is inseparable from the marée orange de supporteurs d’Euskaltel-Euskadi, massés sur les bords des route pyrénéennes pour encouragement its champions. The local team, aujourd’hui in Pro team – l’équivalent de la deuxième division –, n’a pas été conviée sur cette Grande Boucle 2023 (du 1um to July 23). Mais jeudi 29 mai, à Bilbao (Espagne), au moment when the 176 coureurs engaged in this edition se sont pliés au traditionalnel défilé précédant le grand départ, une ferveur semblable à cellae décrite par le patron de l’épreuve était, elle, tout de meme bien there.
En fin d’après-midi, au pied du musée Guggenheim, bijou architecture de l’Américain Frank Gehry consecrated to modern and contemporary art, des foulards jaunes à l’effigie du Tour de France, l’ikurriña (le drapeau basque ) et les chapeaux orange siglés Euskaltel étaient nombreux. It contrasts with the gray sky of the capital of Biscay, one of the three provinces of the Spanish Basque Country. Devant eux se sont présentées, une à une, les vingt-deux équipes engagées, la plupart ayant d’ailleurs revêtu pour l’occasion un beret, autre local symbole, bien profit lorsque la pluie s’est invitée à la fête.
Pas de quoi doucher la bonne humeur du public, bruyant au passage des régions, such as Pello Bilbao and Mikel Landa, of Bahrain-Victorious, or the encore Ion Izagirre, member of the Cofidis team. Ou when Slovène Tadej Pogacar, double vainqueur of the course (2020, 2021), launched a Gora Euskadi («vive le Pays basque») à la foule.
Peut-on vraiment en être surprises? At the top of the d’accueil site pageThe mail, le premier quotidien du Pays basque, s’affichait déjà depuis quelques jours un compte à rebours égrainant le temps restante avant le grand départ. Plus deux ans auparavant, when Amaury sport organization (ASO), le gestionnaire du Tour, confirmed that the caravane will have its validity in the region in 2023, the title se réjouissait déjà d’accueillir le troisième rendez-vous sportif à l’échelle de la planete, « after the Olympic Games [d’été] and the Coupe du monde [masculine] soccer “. “Bilbao will attract the world’s largest projectors with an event where images will be broadcast in 190 countries, with a potential audience of 3.5 billion viewers. »
politically unstable
Le journal recounted surtout le travail de longue haleine, mené en coulisses par la mairie, le Conseil Provincial de Biscaye et le gouvernement du Pays-Basque pour convaincre la Grande Boucle de revenir dans une région où elle était déjà passée treis fois: en 1949 à San Sebastian, in 1977 with arrival and departure in Vitoria, and finally in 1992. Cette année-là, Saint-Sébastien était la ville hôte du grand départ et, cerise sur le gâteau, un enfant du pays, le Navarrais Miguel Indurain ‘s était imposed sur le prologue before finishing in jaune sur les Champs-Elysées.
Then… no big tour. Car, lors de cette edition 1992, two explosions étaient nasce la veille du départ dans un public parking du centre-ville, à proximité de l’hôtel de l’épreuve. Le symbole d’une région sur laquelle planait l’ombre de l’ETA, l’organisation indépendantiste Euskadi ta Askatasuna («Pays basque et liberté»), aujourd’hui dissoute.
Created in 1959, avait déjà entravé à many reprises the bon déroulement de la Vuelta. In 1968, a bomb exploded just before the arrival of the group lors d’une étape entre Vitoria et Pampelune, sans faire de morts. Dix ans plus tarde, des troncs d’arbre et des planches cloutées étaient mis en travers du parcours de la 19AND étape, between Amurrio and Saint-Sébastien, pour empêcher le passage des voitures suiveuses.
Le cyclisme était tout de même revenu dans le Pays basque en 1997 pour des championnats du monde qui, là encore, n’avaient pas échappé à l’instabilité politique de la région – une voiture piégée avait blessé trois gardes civils. This is qu’en 2011 que la región fera son retour sur la carte du Tour d’Espagne, une autre épreuve gérée par ASO. De quoi you hope that the barnum de la Grande Boucle s’y installe de nouveau. Après trente et un ans d’absence, c’est désormais chose faite.