Tuesday, October 15

San Francisco, the tech capital of the fentanyl era

Place des Nations-Unies, in San Francisco. The secouriste Dereaus Stewart is in faction. Dans son sac di lui, a Narcan nasal vaporizer, medically qui efface les effets des opioïdes sur l’organisme. « J’ai encore resuscité un individu ce matinexplain-t-il. A young white man, 24 years old. Quand il s’est réveillé, il était furieux. Mais après, il m’a remercié. »

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Blouson de camouflage, cagoule, lunettes noires, the man wears the uniform of the Urban Alchemy association, fondée en 2018 pour ramener « pay and respect in chaotic urban areas ». After 2020, the NGO is under contract with the City of San Francisco. Your employees are d’anciens détenus, trained à la «downgrading» des crisis, et payés $21 (€19.6) l’heure, soit $5.50 plus the local minimum wage.

After 5 hours in the morning, work is done to clean the streets, to dissuade drug addicts from their étendre and to comfort the merchants who cannot help but swarm the bodies pour ouvrir leur magasin. Dereaus Stewart is proud of his palmarès: en trois ans, il a ramené trente-trois personnes à la vie. « Sans nous, San Francisco serait une poubelle »proclaim-t-il.

Two dead for days

A poubelle, the “city on the edge of the bay” aux rues vertigineuses qui plongent dans le bleu de l’océan? The start-up capital aux trente-sept billionaires? A part of the population n’est pas loin de le penser, furieuse de la decrépitude dans laquelle le centre-ville est tombé.

San Francisco is not relieved of the health crisis. Bureaux vides, commerces en fuite, tourisme en baisse, drug, insécurité: the center is entraîné dans un cercle vicieux that les autorités n’arrivent plus à contrôler. THERE IS destiny cycle (“vicieux circle”), According to the expression in vogue, it concerns whatever downtown-ville is. Le reste de la cité se porte pour le mieux. Le prix de l’immobilier n’y a pas baissé d’un iota.

The spiral of decline started with the confinement, in March 2020. The city is mainly based on the technology sector. Elle s’est vidée de ses “technicians” que plus rien ne retenait dans les bureauaux. Les sans-abri are restés, more visible than ever. Trois ans ont passé, mais le centre-ville n’a never retrouvé l’animation d’avant. Seoul 43% of employees return to the day every day. Even so, 30% of the offices are vines, il taux le plus élevé pour une grande ville aux Etats-Unis.

They homeless ne sont pas plus nombreux qu’avant. Le dernier decompte, en date du 23 fevrier 2022, fait état de 7 754 people «know a situation of non-loggement» (the official terminology): 4,397 rooms on the street; 3,357 in a shelter. Leur nombre commençait en fait à baisser: − 3.5% between 2019 and 2022.

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